L’aide thérapeutique et la violence

Ce matin, j’ai décidé de vous partager un travail que j’ai trouvé sur le net et qui me semble très approprié pour le thème de mon blog être mieux et que je trouve qu’on n’aborde pas assez souvent ce sujet … Continuer la lecture Continuer la lecture Continuer la lecture Continuer la lecture Continuer la lecture

Ce matin, j’ai décidé de vous partager un travail que j’ai trouvé sur le net et qui me semble très approprié pour le thème de mon blog être mieux et que je trouve qu’on n’aborde pas assez souvent ce sujet tabou qui fait quand même partie du secteur du mieux-être.

Voilà pourquoi, comme pour le travail des boissons énergisantes publié à petites doses, je répète l’exercice cette fois, pour le travail du psychologue Steven Bélanger. Coordonnateur clinique Pro-gam du centre d’intervention et de recherche en violence conjugale et familiale.

Où commence et s’arrête la répression?

Introduction

Dans les pays occidentaux en général, la violence fait de plus en plus l’objet de dénonciation et de condamnation morale. Diverses stratégies de contrôle de la violence sont mises en place afin d’assurer la sécurité des individus et l’ordre social. Dans ce contexte, pour ceux dont l’un des principaux symptômes reflétant des difficultés d’ajustement social est la violence, l’aide thérapeutique est devenue une forme supplémentaire de contrôle social.

Au-delà des discours et des positionnements sociaux qui marquent dorénavant la non-tolérance sociale de la violence, il demeure pertinent et nécessaire de préserver les espaces thérapeutiques : des lieux le plus libres possible de pression et de contrôle, favorisant le partage de confidences et le travail des motivations individuelles sous-jacentes aux comportements violents. Parce que la violence est bien souvent plus qu’une simple « mauvaise habitude » qu’il faut changer.

Un instinct de conservation

Par rapport à l’histoire des civilisations, les préoccupations sociales concernant la violence et ses conséquences sur la qualité de vie des individus et des groupes constituent un phénomène récent. « Nos sentiments par rapport à la violence ont changé, les représentations qu’on s’en fait ont changé » (Michaud, Y., 2002).

Avant même l’arrivée d’Homo Sapiens et de sa forme plus évoluée, Cro-Magnon, la lutte pour la survie des individus et des espèces est d’ores et déjà une nécessité incontournable dans le règne animal. Mue par un instinct de conservation, la pulsion d’agression assume des fonctions de prédation et de protection, soit par l’attaque, soit par la fuite.

Résultat du processus d’« hominisation », l’homme, en tant qu’espèce, est tout de même demeuré un mammifère vertébré. Cet état de fait continue de l’assujettir aux mêmes lois naturelles qui régissent les animaux. Il est, lui aussi, soumis à la nécessité de survie et muni des mêmes prédispositions biologiques à l’assumer.

Du nécessaire à l’inacceptable

Mais qui dit homme, ne dit pas nécessairement « humain ». Au cours du processus d’évolution, s’est aussi enclenché un processus d’humanisation, de civilisation, de domestication des instincts.  On impose progressivement aux individus de refouler leurs pulsions, de réprimer les conduites d’agression gratuites, injustifiées et inutiles sur le plan de la survie.

Parce que la violence comporte un lourd tribut de souffrance, parce que l’on accorde aussi de plus en plus de valeur aux personnes, on se dote d’un modèle plus raisonnable d’organisation sociale. On propose graduellement un contrat social plus respectueux de la vie et de la sécurité, plus soucieux de la dignité des personnes et plus empathique à la souffrance humaine.

Se sont donc établis au cours des siècles des principes plus pacifistes et plus humanistes soutenant la condamnation morale de la violence et militant pour des règles de droit axées sur le contrôle et la répression de celle-ci. On a assisté à une élaboration d’un code statuant sur le degré de légitimité de la violence en considérant les circonstances (atténuantes ou aggravantes), les moyens et les fins poursuivies. Dorénavant, la fin doit justifier moralement les moyens; la violence doit être jugée légitime et nécessaire pour ne pas être condamnée et punie.

Sujets du travail qui vont suivre:

  • La violence au statut de problème
  • Violence et « contre-violence »
  • La thérapie contre la violence
  • Des solutions relationnelles aux problèmes relationnels
  • L’alliance thérapeutique : possible et nécessaire
  • Vers une théorie du changement
  • Conclusion

Bibliographie

Duncan, B. L., Miller, S. D., Le client héros de la thérapie : Pratique de la       thérapie orientée par le client et guidée par les résultats, Éditions Satas,      Belgique, 2003.

Gaarder, J., Le monde de Sophie, Édition du Seuil, Paris, 1991.

Kahn, A., Et l’Homme dans tout ça ? Plaidoyer pour un humanisme    moderne, Nil Éditions, Paris, 2000.

Laborit, H., L’Éloge de la fuite, Collection Folio Essais, Paris, 1976.

Michaud, Y., Changements dans la violence : Essai sur la bienveillance       universelle et la peur, Éditions Odile Jacob, Paris, 2002.

Très souvent notre violence vient de notre enfance

Parfois, les comportements à risques, échappent à notre conscience.

Une espèce de fatalité semble peser sur nous.

Difficile d’échapper à l’ambiance dans laquelle on a vécu petit.

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La dépendance émotive (dépendance affective)

Êtes-vous dépendant ou interdépendant ? Entrevue du psychologue Yvon Dallaire avec Josée Turmel sur la dépendance émotive. Émission Famille 2.0 de V Télé Vidéo // < ![CDATA[ // < ![CDATA[ var _gaq = _gaq || []; _gaq.push(['_setAccount', 'UA-24040592-1']); _gaq.push(['_trackPageview']); (function() … Continuer la lecture Continuer la lecture Continuer la lecture Continuer la lecture Continuer la lecture

Êtes-vous atteint de dépendance affective ?

Pour palier a l’ancien lien de l’entrevue du psychologue Yvon Dallaire que je ne retrouve plus et qui était obsolète, j’en ai trouver un autre tout aussi intéressant qui touche le même sujet et plus récent.

Chronique du coach de vie, coach de réussite

Pascale Piquet.

Cliquer ici pour voir les chroniques sur le site de Pascale Piquet directement, ainsi que bien d’autres

Dépendance affective Partie 1

Dépendance affective Partie 2

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Pour réussir votre vie, ne restez plus prisonnier du passé

Libérez enfin tout votre potentiel

Nous sommes tous prisonniers de notre passé.

Pour bien vivre le présent, Il est indispensable d’oublier ses erreurs et échecs du passé. Il faut se libérer de ses peurs, du manque de confiance. Il ne faut pas se laisser aller au découragement : « Soyez positif ! »….. « Ayez totalement confiance en vous, si vous voulez réussir dans la vie et atteindre le succès dans la réalisation de vos rêves ! »…. « Le succès attire le succès ! »etc….

Dès que vous vous intéressez à votre épanouissement, votre bien être, votre développement personnel, aux démarches pour réussir votre vie ; vous avez toutes les informations à ce sujet.

Chacun peut trouver la méthode, la discipline qui lui convient pour développer ses capacités au bonheur.

Nous sommes de mieux en mieux informés, les accès à l’information, à la culture ou à tout ce qui peut nous permettre d’améliorer notre vie sont nombreux.

Et pourtant, sommes-nous totalement épanouis ? Avons-nous la maîtrise totale de notre vie ?

Nos actions, nos réactions et nos émotions sont-elles totalement maîtrisées pour notre bonheur et celui de ceux que nous aimons ?

Au delà de votre volonté, que vous croyez toute puissante, vos choix et vos actions dépendent surtout d’autres parties de vous, qui agissent à votre insu.

En fait, il n’y a pratiquement aucune de nos décisions, ni aucune de nos actions, qui ne soit effectuée sans une intervention de notre subconscient et de notre inconscient.

Une action désapprouvée par le subconscient, ne peut jamais être mise à exécution par le conscient, et votre volonté n’y peut rien. Inversement, une action commandée par le subconscient se réalisera presque toujours. Même si votre volonté s’y oppose.

Mais, la vie nous réserve néanmoins des surprises, pour peu que l’on reste curieux et ouvert. Des rencontres peuvent changer le cours de notre vie, nous apprendre sur nous-mêmes et sur la vie en général.

Nous avons fait une rencontre de ce type. Une personne qui nous a ouvert de nouveaux horizons, dans notre recherche de santé, de bien être et de réussite.

Serge Delicata, chercheur et thérapeute, a créé une nouvelle technique innovante, de soin et de thérapie par le son. Cette technique repose sur sa sensibilité personnelle éveillée et développée jour après jour, après plus de 7000 heures de travail de recherches et d’expérimentations sur les sons, les couleurs et les essences florales.

Il a découvert que d’anciennes souffrances, des peurs, des croyances inhibantes et développées depuis la naissance laissent en chacun de nous, des marques inconscientes qui bloquent notre évolution et notre harmonie.

Sa vision de l’être humain s’est affinée au fil de ses recherches, pour devenir très pointue. Serge a mis en évidence que nous sommes construits autour de fréquences positives d’une part, mais aussi autour d’autres fréquences bien enfouies dans notre inconscient, et liées à des choses plus sombres comme le manque d’amour, le rejet, la haine, l’abandon ou le manque de reconnaissance.

Ainsi, pour atteindre une transformation profonde, il faut donc descendre au niveau cellulaire. En effet, chaque fois que le «moi humain» est blessé au niveau énergétique, émotionnel ou mental, l’impact cellulaire est immédiat, son comportement et ses processus biochimiques s’altèrent.

Il en résulte la maladie et tous les troubles de comportement qui nous sont familiers. Quand le programme cellulaire est altéré, le «moi humain» est incapable de rétablir l’harmonie, aussi fort soit le désir de guérison.

Ayant établit scientifiquement que les sons possèdent une action directe et puissante sur les émotions et l’inconscient, Serge a pu mettre au point une technique thérapeutique.

Il a accompagné avec succès des centaines de personnes en séance individuelle ou en groupe afin de les aider à guérir différentes souffrances et faire disparaître les blocages qui empêchent leur bien-être.

Au cours de différents échanges avec Serge Delicata, il nous a semblé intéressant de parler de nos dépendances. Sont-elles le résultat des traumatismes enregistrés dans notre passé ? Est-il possible de s’en libérer grâce à cette thérapie vibratoire par le son ?

Christine Demulier David Hamon,

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