« Une simple pensée de gratitude dirigée vers le ciel est la plus parfaite des prières. »
Catégorie : Être mieux
Pour réussir votre vie, ne restez plus prisonnier du passé
Libérez enfin tout votre potentiel
Nous sommes tous prisonniers de notre passé.
Pour bien vivre le présent, Il est indispensable d’oublier ses erreurs et échecs du passé. Il faut se libérer de ses peurs, du manque de confiance. Il ne faut pas se laisser aller au découragement : « Soyez positif ! »….. « Ayez totalement confiance en vous, si vous voulez réussir dans la vie et atteindre le succès dans la réalisation de vos rêves ! »…. « Le succès attire le succès ! »etc….
Dès que vous vous intéressez à votre épanouissement, votre bien être, votre développement personnel, aux démarches pour réussir votre vie ; vous avez toutes les informations à ce sujet.
Chacun peut trouver la méthode, la discipline qui lui convient pour développer ses capacités au bonheur.
Nous sommes de mieux en mieux informés, les accès à l’information, à la culture ou à tout ce qui peut nous permettre d’améliorer notre vie sont nombreux.
Et pourtant, sommes-nous totalement épanouis ? Avons-nous la maîtrise totale de notre vie ?
Nos actions, nos réactions et nos émotions sont-elles totalement maîtrisées pour notre bonheur et celui de ceux que nous aimons ?
Au delà de votre volonté, que vous croyez toute puissante, vos choix et vos actions dépendent surtout d’autres parties de vous, qui agissent à votre insu.
En fait, il n’y a pratiquement aucune de nos décisions, ni aucune de nos actions, qui ne soit effectuée sans une intervention de notre subconscient et de notre inconscient.
Une action désapprouvée par le subconscient, ne peut jamais être mise à exécution par le conscient, et votre volonté n’y peut rien. Inversement, une action commandée par le subconscient se réalisera presque toujours. Même si votre volonté s’y oppose.
Mais, la vie nous réserve néanmoins des surprises, pour peu que l’on reste curieux et ouvert. Des rencontres peuvent changer le cours de notre vie, nous apprendre sur nous-mêmes et sur la vie en général.
Nous avons fait une rencontre de ce type. Une personne qui nous a ouvert de nouveaux horizons, dans notre recherche de santé, de bien être et de réussite.
Serge Delicata, chercheur et thérapeute, a créé une nouvelle technique innovante, de soin et de thérapie par le son. Cette technique repose sur sa sensibilité personnelle éveillée et développée jour après jour, après plus de 7000 heures de travail de recherches et d’expérimentations sur les sons, les couleurs et les essences florales.
Il a découvert que d’anciennes souffrances, des peurs, des croyances inhibantes et développées depuis la naissance laissent en chacun de nous, des marques inconscientes qui bloquent notre évolution et notre harmonie.
Sa vision de l’être humain s’est affinée au fil de ses recherches, pour devenir très pointue. Serge a mis en évidence que nous sommes construits autour de fréquences positives d’une part, mais aussi autour d’autres fréquences bien enfouies dans notre inconscient, et liées à des choses plus sombres comme le manque d’amour, le rejet, la haine, l’abandon ou le manque de reconnaissance.
Ainsi, pour atteindre une transformation profonde, il faut donc descendre au niveau cellulaire. En effet, chaque fois que le «moi humain» est blessé au niveau énergétique, émotionnel ou mental, l’impact cellulaire est immédiat, son comportement et ses processus biochimiques s’altèrent.
Il en résulte la maladie et tous les troubles de comportement qui nous sont familiers. Quand le programme cellulaire est altéré, le «moi humain» est incapable de rétablir l’harmonie, aussi fort soit le désir de guérison.
Ayant établit scientifiquement que les sons possèdent une action directe et puissante sur les émotions et l’inconscient, Serge a pu mettre au point une technique thérapeutique.
Il a accompagné avec succès des centaines de personnes en séance individuelle ou en groupe afin de les aider à guérir différentes souffrances et faire disparaître les blocages qui empêchent leur bien-être.
Au cours de différents échanges avec Serge Delicata, il nous a semblé intéressant de parler de nos dépendances. Sont-elles le résultat des traumatismes enregistrés dans notre passé ? Est-il possible de s’en libérer grâce à cette thérapie vibratoire par le son ?
Christine Demulier David Hamon,
L’affiliation : le moyen idéal pour gagner de l’argent sur Internet
Les affiliations sont un excellent moyen pour obtenir immédiatement des produits à vendre, avec des sites professionnels et des outils marketing, pour pouvoir proposer différents produits à vos prospects et gagner de l’argent.
Parfois, vous aurez même des emails prêts à être envoyés à vos listes !
L’affiliation est un système où tout le monde est gagnant :
1 – Celui qui crée le produit : Quelqu’un souhaite vendre son propre produit sur Internet, en le diffusant auprès d’un grand nombre de clients potentiels, sans dépenser des milliers d’euros en publicité. Il lui suffit de mettre en place un système d’affiliation, et les différents marketeurs qui le souhaitent pourront diffuser ses produits, gratuitement !
En contrepartie, il reverse une commission à chaque affilié qui fait une vente.
Même s’il reverse par exemple 50% de commission aux affiliés, sur chaque vente, c’est très intéressant pour l’auteur du produit : il reçoit 50% des ventes qui sont effectuées, sans faire de publicité (on peut donc considérer que ces 50% sont ses frais publicitaires) et il en vend beaucoup plus que si il faisait lui-même de la publicité.
2 – L’affilié qui diffuse le produit : Un marketeur souhaite augmenter ses bénéfices, ou créer son business en ligne en proposant des produits intéressants aux abonnés de ses listes, mais n’a pas de produit à vendre… Il lui suffit de trouver de bonnes affiliations, puis de promouvoir les produits des autres avec ce système gagnant/gagnant : il recevra (par exemple) 50% de commission pour chaque produit vendu, alors qu’il n’a pas crée le produit, ni même la page de vente, il n’a même pas à s’occuper de la livraison du produit : il n’a qu’une seule chose à faire; promouvoir les produits de ses affiliations !
Et recevoir des bénéfices sur les ventes…
L’inscription dans les affiliations est généralement gratuite, et vous permet immédiatement de diffuser les produits pour générer des commissions.
N’est-ce pas un moyen efficace pour avoir des produits à vendre, en partant de rien, gratuitement, et commencer à gagner de l’argent ?
Je vous propose de regarder cette vidéo de présentation de l’affiliation gratuite Club Du Succès, ceci en cliquant sur le lien ci-dessous, les avantages sont nombreux et les commissions sont reversées instantanément aux affiliés :
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Je vous souhaite une grande réussite sur Internet avec les affiliations !
Cordialement,
Sylvain Breault
Cessez d’être gentil soyez vrai
Être avec les autres en restant soi-même
Phrase-résumée du livre : Nous avons tendance à dire plus facilement leurs quatre vérités aux autres plutôt que d’exprimer simplement ce qui se passe en nous. Exprimer sa vérité dans le respect d’autrui et de soi-même, voici le projet du livre. Faites-vous souvent l’effort d’inventorier les sentiments qui motivent vos jugements ? Etes-vous capables d’identifier les besoins refoulés et camouflés derrières vos propos ? Faites-vous aux autres des demandes réalistes et négociables ? Cet ouvrage vous propose de rencontrer l’autre sans cesser d’être soi.
de Thomas D’Ansembourg, 2001, 249 pages
Note : Cette chronique invitée a été écrite par Monalisa du blog Le Bonheur pour les nuls, dans lequel elle nous enseigne comment être plus heureux dans nos vies et tiré du blog de Olivier Roland intitulé http://www.des-livres-pour-changer-de-vie.fr/
Chronique et résumé du livre
1 – Pourquoi vous êtes coupés de vous-même
Nous n’avons jamais appris les mots qui parlent de notre monde intérieur. Depuis l’enfance, nous nous sommes mis à l’écoute des autres (parents, instituteurs puis collègues, patron, …). Pour survivre et s’intégrer, nous avons alors cru devoir nous couper de nous-mêmes.
1.1 L’espace mental
Notre mental a bénéficié de tous les soins et de l’essentiel de notre éducation au dépend des autres aspects de notre personne.
Notre compréhension intellectuelle des choses a été stimulée et encouragée, mais le résultat est le suivant :
– nous jugeons les autres plus vite que notre ombre à partir d’un minimum d’information,
– nous fonctionnons par habitude, avec des automatismes de pensée dans un univers de concepts et d’idées,
– nous fonctionnons sur un système binaire : une chose est blanche ou noire, j’ai tord ou j’ai raison…,
– nous ne prenons pas la responsabilité de ce que nous ressentons : “je suis triste parce que tu…”, “je suis ainsi parce que ma mère…”, “j’ai pas le choix…”, …etc.
1.2 Les sentiments
Dans ce fonctionnement traditionnel, nous nous sommes coupés de nos sentiments et de nos émotions. Par pudeur et réserve transmises de générations en générations, nous ne parlons pas de nous-même et ne connaissons même pas le vocabulaire pour parler des enjeux de notre vie intérieure.
Or le sentiment est un signal précieux qui nous renseigne sur un besoin intérieur.
1.3 Les besoins
Ecouter ses besoins a longtemps été synonyme de nombrilisme et d’égocentrisme. Pourtant, peut-on être à l’écoute des autres lorsqu’on ne s’est jamais écouté soi-même ? Certainement pas !
1.4 La demande
En réussissant à formuler une demande concrète, nous arrêtons d’attendre que l’autre comprenne ce besoin grâce à l’intervention du saint esprit et le satisfasse.
2 – Prenez conscience de ce que vous êtes en train de vivre
2.1 Vous épuiser pour bien faire
De nombreuses personnes s’épuisent dans le soin de l’autre et l’oubli de soi. Cette violence qu’elles s’infligent pour “bien faire” fait qu’un jour, elles ne sont plus capables de “rien faire”. Pour développer la conscience de ce que l’on vit, les 4 stades à considérer sont : l’observation, le sentiment, le besoin et la demande.
2.2 L’observation
Observer des faits d’une façon neutre sans juger ni interpréter est essentiel mais pas si facile que ça.
Il faut savoir dissocier le fait de l’émotion qu’il suscite et ne faire aucune supposition que l’on prendrait pour une vérité.
2.3 Le sentiment
Utilisez le “Je” pour exprimer votre sentiment mais exprimez-le sans interprétation. Par exemple, lorsque vous dites “je me sens triste, inquiet, en colère, …” vous gardez la responsabilité de ce que vous vivez. Lorsque vous dites “Je me sens trahi et manipulé”, vous traitez implicitement l’autre de traitre et de manipulateur, et vous restez enfermé dans un scénario de victime, de plainte et de conflit.
2.4 Le besoin
Partez du principe que l’autre n’est pas là pour satisfaire vos besoins (pas même votre conjoint), même s’il peut y contribuer.
De la même façon, vous n’avez pas à passer votre vie à combler les besoins des autres (c’est encore valable pour le conjoint).
Identifier son besoin (de repos, de temps, de disposer de sa soirée…) c’est choisir de ne jamais nier ou renier ce qui nous habite. Tous nos besoins n’ont pas besoin d’être satisfaits, mais tous ont besoin d’être au moins reconnus.
2.5 La demande
Pour satisfaire vos besoins, formulez des demandes concrètes, réalistes, positives et négociables. C’est le caractère négociable de la demande qui crée l’espace nécessaire à la rencontre.
3 – Prenez conscience de ce que l’autre est en train de vivre
3.1 Communiquer, c’est exprimer et recevoir un message
Communiquer, c’est s’exprimer et écouter. Il faut laisser tomber la peur de se dévoiler comme celle d’entendre l’autre dans sa souffrance et ses difficultés. Entrer dans une communication non violente, c’est basculer dans la confiance et rester présents à l’autre comme à vous même.
3.2 L’empathie
L’empathie (alias la compassion) c’est la présence portée à ce que vous vivez et ce que vit l’autre. Les 4 étapes de la pratique de l’empathie sont les suivantes :
– écoutez sans rien faire,
– portez votre attention sur les sentiments et les besoins de votre interlocuteur,
– reflétez les sentiments et les besoins de votre interlocuteur en les reformulant,
– observez les signes de relâchement et de détente.
Envers les personnes allergiques à l’empathie, vous pouvez utiliser la compassion silencieuse en restant ouverts et bienveillants.
3.3 Prenez le temps
Prenez le temps de communiquer mutuellement. Ca peut éviter de perdre du temps par la suite en disputes et conflits.
4 – La rencontre 
photo credit: Search Engine People Blog
Lorsque nous fonctionnons sur le plan mental, ce qui arrive le plus souvent c’est :
– de se “louper l’un l’autre”,
– de rentrer de plein fouet dans la dispute,
– ou de ne pas oser nous monter tels que nous sommes pour éviter les “projectiles verbaux”.
Mais pour marcher sur le chemin vers l’autre, vous ne pouvez pas faire l’économie du chemin vers soi.
Curieusement, la relation vers soi est censée se faire toute seule. Mais en réalité cette relation a besoin d’entretien, de temps et d’attention. Et pourtant, nous sommes pour la plupart plus préoccupés par l’intendance quotidienne que par l’intimité. Créons des lieux de paroles et ne mourrons pas nourris, vêtus, instruits… mais le cœur sec !
5 – Les 2 clés pour la paix : le sens et la sécurité affective
5.1 Nous avons été éduqués à faire, pas à être
Nous sommes sommés de correspondre aux attentes des autres pour être aimés. Alors nous savons faire plaisir, être un bon garçon, un bon père, un bon collègue ou un bon mari, mais nous ne savons pas être tout simplement nous-même.
En croyant être responsable des sentiments des autres, nous nous culpabilisons mais n’arrivons pas pour autant à être à l’écoute de l’autre.
Prendre soin de quelqu’un, ce n’est pas le prendre en charge. Prendre soin , c’est avoir confiance dans les facultés de la personne à s’en sortir grâce à ses propres ressources. Ceci implique la confiance dans ses propres capacités.
5.2 Etre aimés comme nous sommes
Cessons de chercher à correspondre aux attentes des autres et de demander aux autres de correspondre à nos attentes. Il est préférable d’aimer son fils tel qu’il est que son “projet de fils” (un être brillant qui devra être ingénieur), et d’aimer son conjoint plus que son “projet de vie commune”.
Mais pour cela, il faut développer un sentiment de sécurité intérieure dissocié de ses rôles sociaux de bonne mère, bonne épouse, bonne fille …
Cessons de nous sentir menacés par nos différences et celles des autres. Cessons d’avoir peur de la désapprobation.
5.3 Cessons d’être gentils, soyons vrais !
Derrière une apparente gentillesse, il y a souvent la peur de perdre, la peur du rejet et la peur de la critique.
Or pour fonder des relations satisfaisantes et durables, nous ne pouvons pas faire l’économie de la vérité et de l’authenticité.
5.4 Comment dire non
L’obéissance ne crée pas des être responsables mais des automates. Savoir dire non est au cœur de 4 valeurs essentielles : le respect (de l’autre et de soi), l’autonomie, la responsabilité et la force.
Entrainez-vous à dire non dans des situations faciles pour pouvoir ensuite y arriver dans des situations plus difficiles.
Dire non d’une façon constructive et créative, c’est également dire oui à quelque chose d’autre. Et c’est également développer sa capacité à entendre le non de l’autre sans le prendre de façon personnelle.
5.5 La peur du conflit
Derrière la peur du conflit se trouve un besoin de sécurité affective : “suis-je encore aimable si je ne suis pas d’accord ?”. Mais le conflit est également une formidable opportunité d’évolution.
5.6 Comment vivre la colère ?
Exprimer ou entendre la colère peut sembler difficile. La colère est pourtant un formidable signal d’alarme sur notre tableau de bord intérieur, le signe qu’il faut nous mettre aux “soins intensifs” de notre propre écoute. Et enterrer ses colères, c’est véritablement s’assoir sur un champ de mines.
Alors un jour ça pète, et ça se transforme en agression sur quelqu’un.
photo credit: mdanys
Prendre soin de ses colères consiste alors à :
1 – Nous taire plutôt qu’exploser. Car si nous explosons à la figure de l’autre, l’agressé ne pourra pas bien nous entendre.
2 – Accueillir toute notre colère. Accepter la violence qui est en nous sert d’exutoire : il faut être capable de bien la regarder en face avec ses images et ses fantasmes.
3 – Identifier le(s) besoin(s) insatisfait(s).
4- Identifier les nouveaux sentiments qui peuvent se manifester. Derrière cette colère, il peut y avoir la fatigue d’une situation, et derrière cette fatigue un besoin de changement.
5 – Dire notre colère. Idéalement, vous pouvez l’exprimer seulement lorsque la tension est relâchée.
Pour être capable d’écouter la colère d’autrui, essayez de rester patient et de pratiquer l’empathie.
6 – Renseignez-vous mutuellement et partagez vos valeurs
6.1 – Il faut, tu dois, c’est comme ça, j’ai pas le choix, j’ai pas le temps
Ce langage déresponsabilisant anesthésie la conscience et vous transforme en robot. Demandez-vous quelles valeurs vos vieux “il faut” servent. La contrainte est inconfortable, mais familière. Remettre en cause son sens du devoir et ses habitudes, agir par choix et par élan du cœur peut faire peur. Pourtant, la vie se trouve ici même dans ces enthousiasmes.
Par ailleurs, regardez à quoi et à qui vous consacrez votre temps et votre énergie. Ce sont d’excellents indicateurs de vos priorités, de vos choix et des besoins que vous décidez de satisfaire. Bien souvent hélas, la priorité est donnée à l’intendance plutôt qu’à écouter les membres de sa famille.
6.2 – Un sens à sa vie
Nous avons besoin de connaitre le sens de notre vie, sa direction et sa signification. Si nous ne prenons pas soin de notre besoin de nous sentir pleinement vivant, nous risquons de le combler d’une façon destructrice.
6.3 – Punitions et sanctions
Le vieux système punition / récompense ne créé pas de sécurité intérieure et de confiance en soi. Il ne fonctionne pas mieux pour l’éducation des enfants qu’au sein des entreprises. Ce système fait appel à la peur et la culpabilité au lieu de faire appel à l’enthousiasme et l’adhésion. Bien sûr, la fermeté est parfois nécessaire. Mais ne peut-on pas être fort sans être agressif ?
7 – La méthode
Essayez d’être présent à vous-même sans jugement 3 minutes 3 fois par jour. Posez-vous alors cette question : “y a-t’il quelqu’un à l’intérieur ?”
Soyez également reconnaissants et exprimez cette gratitude pour tous vos besoins comblés. La gratitude est la vitamine de la relation !
Epilogue : jardinez la paix
La violence n’est pas l’expression de notre nature, mais celle de la frustration de notre nature. Elle exprime nos besoins non reconnus ou non satisfaits.
photo credit: hapal
La communication consciente et non violente est un mode de résolution des conflits qui permet de nous déprogrammer du vieux système de la violence.
Car la violence et la non-communication ne sont pas un grand problème, mais 7 milliards de petits problèmes !
Il n’y aura pas de paix dans le monde tant que l’homme ne prendra pas soin chaque jour de cultiver sa paix intérieure. Cette paix se propagera ensuite par rayonnement car la paix, c’est contagieux !
Conclusion
Ce livre est à mon avis une nécessité pour tous les “trop gentils” du monde qui sont déconnectés de leurs émotions. Pour avoir déjà fait mon chemin vers pas mal de principes expliqués dans l’ouvrage, je témoigne que ce livre ne peut qu’être rééquilibrant pour le lecteur, dans une culture qui pousse à se couper de soi-même. Il bouleversera à coup sûr le lecteur qui tiendra ici son premier livre de développement personnel et sera un précieux guide pour les autres.
Au terme de ce livre, il y a la joie d’être plus connecté aux autres et à soi-même et le bonheur de se sentir plus ouvert. Un programme qui me touche car je me retrouve dans le sujet favori de mon blog Le Bonheur pour les nuls.
Points forts
- Le livre est truffé d’exemples concrets et de témoignages personnels qui illustrent et argumentent les propos de Thomas D’Ansembourg.
- L’enseignement est très pragmatique, clair et accessible à tous.
- C’est une mine d’or qui regorge de beaucoup de bons conseils à lire, à relire… et surtout à appliquer !
Points faibles
- L’ouvrage a 10 ans : les lecteurs assidus de livres de développement personnel pourront avoir déjà lus certains des concepts ailleurs.
- Les idées sont présentées d’une façon un peu brouillonne.
- L’ouvrage brille plus sur le fond plus que sur la forme : le style est très correct mais pas exceptionnel.
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