Développement personnel, associations et coaching

Développement personnel, les associations

Avant d’aborder le coaching, nous parlerons des associations.

De la résolution de conflits au traitement du stress et des phobies en passant par le traitement de la dépression ou l’amélioration de la communication, une association en développement personnel propose différents outils pour aider l’individu à se sentier mieux dans sa vie, et à la maîtriser. Quels sont donc les moyens employés par une association en développement personnel ?

Avec le coaching, une association en développement personnel peut intervenir aussi bien sur le plan personnel que sur le plan professionnel. Le coaching est en effet une intervention de courte durée le plus souvent, qui est destiné à apprendre au patient à mieux cerner son potentiel, et à savoir le valoriser et l’exploiter au maximum. Grâce au coaching, une association en développement personnel est capable d’apporter son aide à un artiste désireux d’accroître sa créativité comme à un cadre supérieur qui se sent à l’étroit dans ses fonctions.

http://www.ralpheltabet-sophrologue.fr/
La sophrologie = équilibre, recul, apaisement, épanouissement, responsabilisation, positiviste, confiance en soi, autonomie, gestion des émotions, lutte contre le stress

Avec la sophrologie, une association en développement personnel reconnaît le corps comme support du psychisme et de la spiritualité. En s’appuyant sur les manifestations physiques d’un mal-être, la sophrologie apaise les symptômes tels que maux de dos, migraines ou insomnies, mais traite également en profondeur la source de cette souffrance. La sophrologie figure donc en bonne place parmi les outils privilégiés d’une association développement personnel.


Bien-être + voyance + sophrologie

Enfin, une association en développement personnel peut recourir à des techniques thérapeutiques constituant en elles-mêmes une discipline à part entière. Ainsi, certains aspects de la pnl, comme l’hypnose ou l’EMDR servent à l’occasion les objectifs d’une association en développement personnel, grâce à l’état d’ouverture qu’ils suscitent chez le patient, qui devient plus réceptif aux traitements.

Développement personnel, le coaching

Pour chaque individu, un coaching en développement personnel prendra des formes sensiblement différentes. Mais le coaching en développement personnel connaît toutefois quelques constantes.

Le point essentiel du coaching en développement personnel est l’estime de soi, ceci est la base indispensable pour que des changements puissent intervenir. L’estime de soi passe notamment par une bonne évaluation de son potentiel – souvent sous-estimé – et par une chasse assidue aux pensées négatives ou croyances paralysantes. Le coaching en développement personnel doit, dans un premier temps, permettre à chacun de retrouver la confiance en soi et en ses aptitudes.

Pour maîtriser sa vie, le coaching en développement personnel préconise de surmonter toutes les formes d’asservissement psychologique que sont l’angoisse, les phobies ou les dépendances. La peur ou la dépendance sont en effet des formes d’enfermement dont il est nécessaire de se libérer pour pouvoir avancer. Un coaching en développement personnel peut éventuellement passer par une aide au sevrage du tabac ou un travail sur la gestion du stress et des émotions.

Enfin, un coaching en développement personnel sert à établir de nouvelles règles de vie, basées sur l’application de la pensée positive, et la formulation de ses objectifs. Comme il ne suffit pas de supprimer les comportements négatifs pour améliorer sa vie, le coaching en développement personnel propose des solutions concrètes pour trouver en soi-même la ressource de changer les choses, et l’établissement d’un plan d’action constitue ainsi la pierre angulaire du travail : après avoir formulé ce qu’il souhaite changer dans sa vie, le coaché analyse les éventuels obstacles qu’il risque de rencontrer, et cherche avec l’aide de son coach des solutions pratiques pour y parvenir.

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Épisode no.1, Quand la dépendance devient violence

 Exutoire Aujourd’hui le 30 octobre 2011, je me lance dans une démarche personnelle qui je crois me sera bénéfique et surtout libératrice de ce qui me poursuit et me hante chaque jour, le fait de partager avec vous les aventures … Continuer la lecture Continuer la lecture Continuer la lecture Continuer la lecture Continuer la lecture

 Exutoire

Aujourd’hui, je me lance dans une démarche personnelle qui me sera bénéfique et surtout libératrice de ce qui me poursuit et me hante depuis longtemps, le fait de partager avec vous les aventures que j’ai eu jusqu’à présent et les celles à venir, vont me permettre d’atténuer mon besoin de m’exprimer verbalement de façon disproportionner, selon moi, cela est dû au manque de confiance en moi et du besoin de reconnaissance qu’il en résulte.

Quand la dépendance devient violence

Pourquoi j’ai choisi un tel titre pour mon premier article concernant ma vie. Je m’explique, ayant fait un cheminement au niveau développement personnel, depuis déjà 16 années, au court de cette période j’ai découvert que je souffrais d’un manque d’affection et je voulais à tout pris me faire aimer, sans cela je n’arrivais pas à m’aimer (estime de soi). Cette carence ou manque appelé le comme vous voulez à un nom aujourd’hui, elle est t’appeler la dépendance affective, cette dépendance m’a amené dans plusieurs ennuis que j’aurais pu éviter je crois, cela à n’apprenant à m’aimer sans avoir l’impression d’être égoïste, centré sur moi-même ou même coupable.

Comme dans un des articles que j’ai partagés avec vous précédemment s’intitulant Cessez d’être gentil soyez vrai, qui parle du livre du même titre et de la violence que l’on ce fait à soi-même en voulant à tout prix ce faire aimer en disant oui quand notre coeur dis non.

Voilà pourquoi j’ai choisi ce titre, le besoin fondamental d’être aimé que chaque être humain possède et qui est l’essence même de notre existence. (aimer et être aimé). Si ce besoin nous est mal enseigné au cours de notre enfance, il peu nous amener dans les couloirs sombrent de la violence que nous ne voulons pas atteindre, mais qui survient malgré nous.

Nous sommes responsables des faits et gestes de nos paroles destructrices, mais aussi responsables du malheur qu’il en découle. Bonne nouvelle, nous sommes aussi responsables de notre bonheur, cela en accomplissant le contraire du négatif que nous s’avons bien entretenir malheureusement, dû moins que j’ai su entretenir trop longtemps, voilà un premier outil qui m’a servi et que me sert encore aujourd’hui. Même si cet outil vient d’une religion, il n’en est pas moins très utile et sa force spirituelle et philosophique peut s’adapter à n’importe qui d’entre nous.

Prière de St-François d’Assise

Seigneur !
(Dieu, Allah, Bouda, etc.), l’important est de mettre votre ego de côté.

Faites de moi un instrument de votre paix.

Là où est la haine que je mette l’amour.
Là où est l’offense que je mette le pardon.
Là où est la discorde que je mette l’union.
Là où est l’erreur que je mette la vérité.
Là où est le doute que je mette la foi.
Là où est le désespoir que je mette l’espérance.
Là où sont les ténèbres que je mette la lumière.
Là où est la tristesse que je mette la joie.

Faites que je ne cherche pas tant à être consolé que de consoler,
D’être compris que de comprendre.
D’être aimé que d’aimer.

Parce que
C’est en donnant que l’on reçoit,
C’est en s’oubliant soi-même qu’on se retrouve
C’est en pardonnant qu’on obtient le pardon.
C’est en mourant que l’on ressuscite à l’éternelle vie.

Est-ce approprié de parlé ouvertement de mon vécu sur le web, je ne sais pas, mais mon seul but est de me libérer pour mieux me pardonner les erreurs commises dans le passé et d’éviter dans commette d’autres. J’espère aussi sincèrement pouvoir aider quelqu’un quelque part à ne pas passer par le même chemin, je crois qu’en partagent par écrit mes expériences, et comme j’ai appris à mieux me connaître au travers des autres et leurs vies qui ce rapprochaient de la mienne, cela m’a aussi permis de me sentir moins seul et compris dans mes souffrances et ma amener à essayer de changer mes vielles idées préconçues datant de mon enfance.

Voilà, j’ai terminer ma première expérience, j’espère que cela vous a plus, sinon poser vous la question, pourquoi cela m’affecte ou me dérange, est-ce un sujet trop délicat que je n’ose voir en moi. Ne vous gêner pas laissé moi vos commentaires.

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